Bonjour !

J'ai un sujet d'écriture à faire en français mais j'ai pas compris comment fallait le construire et ce qu'il fallait mettre dedans. Quelqu'un pourrait m'aider ?
Alors : Dans un texte organisé d'une vingtaine de ligne, vous exposerez votre vision de la sociétè idéaliste.
→ Organiser = texte structuré, idées organisées dans leur enchaînement, connecteurs logiques...
Vu que c'est notre propre vision, la prof a dit que ça devait être de la narration, à la 1ère ou 3ème personne. Notre reflexion, entre explication et description.
Elle avait aussi dit de dire ce que nous appelions sociètè. De mon PDV, une socièté est un endroit où les gens vivent en communauté, association, groupement, entente.
Pour moi, une socièté ideale seraient une sociètè ou il n'y aurait pas de vols, pas cette peur, les portes et les fêntres pourraient restées ouvertes, une societé sans agression, donc des sorties possibles tard le soir, entraide et entente parfaite entre tous.

Je n'ai rien d'autre comme indications sur le sujet. Quelqu'un peut m'aider ?

Répondre :

Hier soir, avant de m'endormir, mes pensées vagabondaient en tout sens et le sommeil avait bien du mal à m'emporter. Alors que maman rangeait la terrasse, je l'entendait répéter inlassablement, mais pourquoi, pourquoi les gens perdent-ils la tête à ce point là. Quelques minutes plus tard, mon père l'avait rejoint et pensif, faisait les cent pas. A mon tour de m'interpeller ! En effet, cette tourmente commençait à m'inquiéter. Très vite, je compris que ces gens qui nous entouraient, avaient de mauvaises intentions. La société pourtant si solidaire, draine des personnes qui ne réfléchissent plus, agissent par pulsion et détruisent parfois des familles. Cet ensemble d'individus ne vivent qu'à travers les autres alors que pour moi, cela devrait être tout autre. Solidarité, respect de l'autre, entente alors qu'aujourd'hui, certains deviennent égoïstes, rient du malheur des autres et se prennent pour des caïds en faisant régner la terreur. Nos portent se ferment, des agressions demeurent quotidiennes, les sorties nocturnes interdites car "danger". Quelques instants, les yeux fermés je m'imagine un monde où règne le bon sens, de la joie de vivre, des informations où seules la météorologie et la musique ponctuent les phrases de la journaliste. Je m'étire, et je repense à tout ce qui m'entoure. Agressions, accidents, bagarres, règlements de compte, chômage, incertitude sur l'avenir où est passé cette société idyllique  n'existe -t-elle pas, n'a t-elle jamais existé, est -ce du à l'air que nous respirons, devenons - nous fous ?