A paris, le 25 mai 18854.
cher Monsieur Thenardier
Je tiens particulièrement à vous remercier d'avoir pris soin de ma petite fille Cosette.
Dans un moment de détresse, je l' ai abandonnée parce que je n'avais pas les moyens pour l'entretenir ,subvenir a ses besoins .Je ne pouvais l' entraîner derrière moi dans la misère ou je vivais.Ma déchéance était grande.Une petite fille si fragile si innocente ne l'aurait pas supporté.,cela l'aurait tué.Mais qu'il fut grande ma joie lorsque je vous ai rencontrés ,un grand soulagement .J avais trouvé en vous le pere qui prendrait soin de ma petite ,qui serait la proteger et la cherir pare que lui meme est déjà père .Jamais je ne vous remercierai comme il faut .
Maintenant ,les choses ont changé. la ville prospéré, grâce à un inconnu qui s'y est installé..IL prend soin aux pauvres et leur offre un emploi dans son usine. IL est touché par mon cas,..prenant connaissance que j'ai une fille ,ses égards es sont redoublés. Je suis actuellement capable de faire vivre ma fille.
cher thenardier
je t 'écris aujourd’hui pour vous dire que je veux reprendre ma fille.Je suis souffrante ,elle sera ma joie ma consolation, ma raison de vivre , En l'ayant à mes cotes, elle sera dissiper ce chagrin et cette morne tristesse qui me rongent le cœur. Je ne vis plus que dans l'attente de la voir ,de la prendre dans me bras , de la couvrir de mes baisers.Vous êtes père monsieur et vous connaissez le sentiments d'un parent.
je suis malade,monsieur, je ne peux pas me déplacer,je vous prie de me la faire venir
Vous trouvez avec cette lettre une somme d'argent en guise de remerciement et pour couvrir les frais du voyage.
A bientôt
FANTINE
