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Aujourd’hui, vendredi 26 février 2020, c’est le grand jour. J’arrive à huit heures et demi du matin, afin d’être sûr de ne pas rater mon vol. L’aéroport, est noir de monde. Il me suffit de tourner la tête pour apercevoir, un homme d’affaire au téléphone, une famille qui s’apprête à passer un merveilleux séjour sous le soleil, des étrangers qui repartent chez eux ayant l’air triste de quitter le sol français, les retrouvailles d’un couple heureux de se voir. Je ne sais plus où donner de la tête. J’avance alors vers le tableau lumineux montrant les heures de vols, le mien est à dix heures. Une voix d’hôtesse annonce un vol prêt pour le décollage vers New York. Je m’assois alors sur le banc qui se trouve sous le panneau lumineux pour attendre l’ouverture de la bagagerie. Pour faire passer le temps, j’observe les personnes, certaines pressées bousculent la foule, d’autres plus tranquille se déplacent d’un pas lent tandis que d’autres sont perdues. Cela m’aura occupé quelques minutes. . . Je me lève vivement et me dirige vers le kiosque à journaux. J’achète alors quelques magazines afin de me distraire un peu. Je reprends ma place, ouvre le magazine et commence la lecture.