Répondre :
1. Le poème peut être divisé en deux parties comme suit :
Première partie (vers 1 à 16) : "Contemplation depuis la mansarde"
Deuxième partie (vers 17 à 28) : "Rêveries féeriques"
2. Dans la première partie, le poète se trouve dans sa mansarde, comme le suggère le vers 5 : "Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde". Il contemple le paysage urbain qui s'étend devant lui, composé d'ateliers, de tuyaux, de clochers et de grands ciels. Il exprime une attitude contemplative et rêveuse, illustrée par l'image des clochers écoutés en rêvant et des hymnes solennels emportés par le vent.
3. Dans la deuxième partie, le poète se trouve plongé dans ses rêveries féeriques, comme le suggèrent les vers 17 à 28. Il évoque des horizons bleuâtres, des jardins, des jets d'eau pleurant dans les albâtres, des baisers et des oiseaux chantant soir et matin. Il se laisse emporter par son imagination, créant un monde enchanteur où il est en mesure d'évoquer le Printemps et de tirer un soleil de son cœur. Cette partie du poème illustre le pouvoir de l'imagination du poète à transcender la réalité et à créer un monde idéal.
Première partie (vers 1 à 16) : "Contemplation depuis la mansarde"
Deuxième partie (vers 17 à 28) : "Rêveries féeriques"
2. Dans la première partie, le poète se trouve dans sa mansarde, comme le suggère le vers 5 : "Les deux mains au menton, du haut de ma mansarde". Il contemple le paysage urbain qui s'étend devant lui, composé d'ateliers, de tuyaux, de clochers et de grands ciels. Il exprime une attitude contemplative et rêveuse, illustrée par l'image des clochers écoutés en rêvant et des hymnes solennels emportés par le vent.
3. Dans la deuxième partie, le poète se trouve plongé dans ses rêveries féeriques, comme le suggèrent les vers 17 à 28. Il évoque des horizons bleuâtres, des jardins, des jets d'eau pleurant dans les albâtres, des baisers et des oiseaux chantant soir et matin. Il se laisse emporter par son imagination, créant un monde enchanteur où il est en mesure d'évoquer le Printemps et de tirer un soleil de son cœur. Cette partie du poème illustre le pouvoir de l'imagination du poète à transcender la réalité et à créer un monde idéal.