in2bkd
résolu

Hello ! J’ai un sonnet à faire ( poème de 2 quatrain et de 2 tercets ) sur la ville de Nice.
Les quatrains doivent être la description de la ville un peu et les tercets doivent montrer les bons ou mauvais côtés de la ville.
Il me faut impérativement :
- 1 personnifications
- 2 autres figure d style ( anaphore, métaphore , comparaison , hyperbole )
- il me faut aussi un système de rimes en ABBA ABBA CCD EED.
- 3 expansions du nom
( le prof veux une touche d’humour mais je sais pas en faire mdr )

Je ne vous demande pas de m’écrire le poème en entier , mais si quelqu’un peut m’aider.
J’ai a commencer par : Ô Nice , ville du soleil.

Répondre :

Ô Nice, ville du soleil, joyau azuréen,

Où les rues s'animent, vibrant de mille couleurs,

Les façades sourient, baignées de douce chaleur,

La mer, telle une amie, caresse le front des siens.

Les palmiers s'inclinent, saluant les passants,

Comme des danseurs gracieux sous le ciel éclatant,

Les parfums de lavande et de sel embaument l'air,

Nice, en toi, chaque jour est un éternel éclat.

Mais parfois, ô Nice, tes rues sont étroites,

La foule se presse, étouffant la quiétude,

Les voitures klaxonnent, impatience en route,

Pourtant, ton charme persiste, malgré la cohue.

Dans tes ruelles, l'histoire murmure en silence,

Les contrastes s'entremêlent, créant une danse,

Nice, ville de contrastes, entre calme et effervescence.

Réponse : Sache que j’ai eu beaucoup d’inspi pour ton devoir, c’est pour sa que je te l’ai fais en entier dls


Dans le berceau azuré de la Méditerranée,

Nice se pare de couleurs éblouissantes,

Tel un tableau vivant aux nuances chantantes,

Où l'azur du ciel se mêle à la mer dorée.


Les ruelles sinueuses, comme des veines tracées,

Pulsent au rythme des vies tournoyantes,

Où le soleil brille de mille éclats brillants,

Et les façades anciennes murmurent des secrets.


Mais sous ce masque d'or, se cachent des ombres,

Les rues parfois étroites, étouffent les cœurs,

Comme des chaînes invisibles qui sombrent.


La foule qui s'agite, dans un tumulte rieur,

Masque les soupirs des âmes qui errent,

Dans cette ville où le bonheur se meurt.

Dls y’a pas trop d’humour