Phrase de la semaine Exercice 4: Ecriture « Il n'était plus permis de sortir dans les rues. >>Dans un texte d'une dizaine de lignes, poursuivez l'histoire commencée par cette phrase Vous insérerez obligatoirement quatre phrases qui respectent la syntaxe suivante : - deux propositions coordonnées - une proposition simple indépendante - deux propositions principale et subordonnée relative - trois propositions juxtaposée et principale et subordonnée relative​

Répondre :

Réponse:

Dans les rues désertes, le silence régnait en maître, brisé seulement par le murmure lointain des vents. Il n'était plus permis de sortir dans les rues, car un mystérieux phénomène enveloppait la ville d'une aura sinistre. Les habitants, cloîtrés chez eux, tremblaient à l'idée de ce qui pouvait bien se cacher derrière cette interdiction soudaine. Les autorités, dépassées par l'événement, ne donnaient aucune explication, laissant planer un voile de mystère sur la situation. Certains osaient évoquer des histoires de créatures nocturnes, tandis que d'autres soupçonnaient un complot gouvernemental. Mais dans l'obscurité oppressante, une lueur d'espoir subsistait : celle de découvrir la vérité et de briser le joug de la peur qui enserrait la ville.

Réponse :

Il n'était plus permis de sortir dans les rues. Les habitants de la ville, soudainement confinés chez eux, se retrouvaient pris au piège d'une situation aussi mystérieuse qu'inattendue. Certains murmuraient des rumeurs sur la raison de cette interdiction, mais aucune explication officielle n'avait été donnée, laissant planer un voile de perplexité sur la population. Les jours s'écoulaient lentement, marqués par une monotone routine domestique. Pendant ce temps, les autorités restaient étrangement silencieuses, alimentant ainsi davantage le mystère qui entourait cette mesure radicale.

Les habitants, réduits à observer le monde extérieur par les fenêtres de leurs maisons, se demandaient ce qui se cachait derrière cette interdiction soudaine. Certains imaginaient des scénarios catastrophes, tandis que d'autres tentaient de garder espoir en attendant des nouvelles des autorités. Cependant, malgré l'interdiction, certains courageux osaient encore braver les règles, cherchant désespérément des réponses ou simplement un peu d'air frais. Mais ces transgressions étaient rares et risquées, car les patrouilles de police veillaient au respect strict de l'ordre établi.

Pendant ce temps, les rues autrefois animées de la ville étaient désormais silencieuses, presque fantomatiques, témoins silencieux de l'étrange période que traversait la ville. Les habitants se demandaient combien de temps cette situation allait durer, et si un jour ils pourraient à nouveau fouler le pavé de leur quartier en toute liberté. En attendant, ils restaient cloîtrés chez eux, se raccrochant à l'espoir que cette période sombre prendrait bientôt fin.