Lorsque le tournoi fut terminé, Marie et Jeanne s'en retournèrent au château et se mirent à raconter avec émotion la compétition.
« Quel spectacle magnifique ! » s'exclama Marie, les yeux brillants. « Les chevaliers ont combattu avec tant de bravoure, mais c'est le vaillant chevalier qui a gagné qui m'a particulièrement impressionnée. Ses mouvements étaient précis et puissants, chaque coup porté avec une détermination sans faille. »
Jeanne hocha la tête, partageant son enthousiasme. « Oui, il était impressionnant. Souviens-toi de ce moment où il a affronté trois adversaires à la fois. Il a esquivé leurs attaques avec une agilité incroyable et a riposté avec une force redoutable. »
« Et ce dernier duel ! » ajouta Marie, son visage s'illuminant encore plus. « Lorsque son adversaire l'a frappé, je craignais pour sa vie. Mais il s'est relevé avec une volonté indomptable, et d'un coup magistral, il a désarmé son ennemi, remportant ainsi la victoire. »
« Ce chevalier n'est pas seulement fort et habile, » continua Jeanne, « mais il a montré une noblesse d'âme en épargnant ses adversaires. C'est cette grandeur d'esprit qui m'a touchée. »
Marie, le regard rêveur, conclut doucement : « Oui, je crois que je suis tombée amoureuse de lui. Ce tournoi restera gravé dans ma mémoire, non seulement pour la beauté du combat, mais pour l'émotion qu'il a fait naître en moi. »
Ainsi, les deux amies continuèrent à partager leurs impressions, emportées par le souvenir du vaillant chevalier et de son triomphe inoubliable.
