Exercice 41. Lis le texte suivant :
Le crépuscule était venu brusquement, mêlant les premières ombres aux dernières clartés du jour ; dans
un gris douteux montaient des volutes de poussières soulevées par la brise et les animaux qui rentraient
de la brousse.
C'était une de ces minutes rares où la nature paraît se recueillir avant que s'accomplisse la
métamorphose. Les silhouettes des hommes et des choses s'étiraient dans cette aube crépusculaire.
Abdoulaye Sadji, Maïmouna
Consigne :
1. Réécris ce texte en utilisant des adverbes qui reflètent l'opinion que tu pourrais avoir d'un
coucher de soleil.

Répondre :

nathea

Bonjourr

Lis le texte suivant :

Le crépuscule était venu brusquement, mêlant les premières ombres aux dernières clartés du jour ; dans un gris douteux montaient des volutes de poussières soulevées par la brise et les animaux qui rentraient de la brousse.

C'était une de ces minutes rares où la nature paraît se recueillir avant que s'accomplisse la métamorphose. Les silhouettes des hommes et des choses s'étiraient dans cette aube crépusculaire.

1. Réécris ce texte en utilisant des adverbes qui reflètent l'opinion que tu pourrais avoir d'un coucher de soleil.

Le crépuscule était venu doucement, mêlant les premières ombres aux dernières clartés rougeoyantes du jour ; dans un gris surnaturel montaient délicatement des volutes de poussières flottant paresseusement. sous l'effet de la brise et les animaux qui rentraient sereinement de la brousse.

C'était une de ces minutes exceptionnellement rares où la nature paraît se recueillir pieusement avant que s'accomplisse merveilleusement la métamorphose. Les silhouettes des hommes et des choses s'étiraient infiniment dans cette aube crépusculaire.

Bonne journée ☺☺☺

Bonjour;

Le crépuscule était venu assez brusquement, mêlant intensément et admirablement les premières ombres aux dernières clartés du jour ; dans

un gris carrément douteux montaient des volutes de poussières soulevées  rudement par la brise et les animaux qui rentraient calmement de la brousse.

C'était une de ces minutes tout à fait rares où la nature paraît toujours se recueillir avant que s'accomplisse totalement la métamorphose. Les silhouettes des hommes et des choses s'étiraient longuement dans cette aube crépusculaire.